THE DEMOCRACY PROJECT

MAËLLE DEQUIEDT – LA PHENOMENA

 

[THÉÂTRE ET MUSIQUE]

 

Jeudi 27 novembre – 19h30

Vendredi 28 novembre – 19h30

Samedi 29 novembre – 19h30

Durée : 1h

 

 

À l’aube de leur carrière, trois jeunes interprètes sont réunis sur scène. Ils jouent, chantent, expriment leurs désirs et observent le monde en dialogue imaginaire avec l’anthropologue et penseur anarchiste David Graeber.

 

The Democracy Project est le titre d’un essai de David Graeber, anthropologue, penseur anarchiste et figure du mouvement Occupy Wall Street. Face aux périls qui menacent aujourd’hui la démocratie, il affirme la nécessité de vivre comme si nous étions déjà libres : non en renversant la domination mais en cessant de la fabriquer, en concevant une révolution qui ne serait pas un Grand Soir mais une improvisation sans fin.

 

Partant de cette idée, La Phenomena invite trois musiciennes et musicien hors normes à s’emparer d’une interview de David Graeber pour proposer une performance inclassable et hautement inflammable. À l’aube de leur carrière, ils se lancent à l’assaut de cette pensée foisonnante, électrisant ses mots par la musique, interrogeant au miroir de ses luttes le sens de leurs parcours, leurs contradictions et leur place d’artistes dans la société.

 

 
· À partir de 12 ans

 

 

 

 

→ La Phenomena est lauréate du programme européen EMERGE (Hauts-de-France-Wallonie-Flandres).

 

 

Création collective La Phenomena

Mise en scène Maëlle Dequiedt

Composition Francisco Alvarado

Dramaturgie Simon Hatab

Instruments et voix Miho Kiyokawa (saxophone), Sulivan Loiseau (contrebasse) et Virgile Pellerin (chant)

Conception et régie son Mateo Esnault

Lumières Nicolas Marie

Régie lumière Jeanne Laffargue

 

Administration et production Hanna Mauvieux

Production La Phenomena

Coproductions La Pop, Festival Musica, Théâtre d’Orléans – Scène Nationale, Université de Lille

 

 

MAËLLE DEQUIEDT

Maëlle Dequiedt crée des formes iconoclastes où la musique se dispute au théâtre. Ses spectacles flirtent souvent avec l’absurde pour mettre à nu une humanité profonde. À la frontière de la performance, elle travaille des écritures de plateau nourries par l’improvisation, qui placent les interprètes au cœur du processus de création. Née à Nevers, elle étudie le violoncelle et les arts du spectacle avant d’intégrer en 2013 la section mise en scène du TNS. 

 

 

© Lionel Pralus – Collectif Faux Amis